Larix decidua

Après la tempête de 1999, c’est dans le parc de Chêvreloup que j’ai sculpté la dernière graine de ce mélèze encore sur pied mais dont la tête avait été emportée par le vent.

L’ensemble mesure 4 mètres 50 de haut

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *